🌟 Film A Grand Spectacle En Costume De L Antiquité
CINEMA Fournir des costumes pour les longs métrages est notre activité principale. Les créateurs/créatrices de costumes reconnus comme les personnes qui débutent dans la profession sont reçues chez nous avec la même attention. Puisque leur projet est aussi le notre, nous y apportons notre savoir-faire, nos connaissances et notre
Oualors on fait comme à Broadway et on apprend à chanter, à danser et on fait des claquettes dans un costume à paillettes ! Mais on peut aussi faire rire et dire des blagues devant un micro et ça, c’est trop rigolo ! Pour Loup, accompagné de son amoureuse et de tous ses amis, c’est parti pour le grand voyage dans le monde du spectacle pour
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22et 23 octobre Albi 24h Stadium. 11 > 13 novembre Foire antiquité et brocante Parc des expositions. 24 et 25 novembre Les 12h Harmonie mutuelle Albi, Circuit. 22 > 27 novembre Festival du film francophone d'Albi Les Œillades. 3 et 4 décembre Salon du vintage salon tattoo Tarn Parc des expositions.
spectacle: places de spectacle, spectacle de rue, spectacle de fin d’année, salle de spectacle, le clou du spectacle Synonymie En lien direct avec l’étude des différents sens du mot, le professeur constitue avec les élèves un corpus de synonymes du mot étudié pour les aider à enrichir leur vocabulaire. Il prend soin
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Iz0x16. News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 4,1 10614 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné 279 critiques spectateurs 5 137 critiques 4 76 critiques 3 35 critiques 2 20 critiques 1 8 critiques 0 3 critiques Trier par Critiques les plus récentes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Quel beau film !Histoire, costumes, musique, acteurs ! Il dure 3 h 30 et on n'a pas envie qu'il s'arrête !4,5/5 Chef-d'oeuvre absolu ! Pour moi le plus grand film de tous les temps. Il y a tout dedans l'amour, l'amitié, la haine, la guerre, le sport et la religion. C'est à la fois un film historique et un film de l'histoire du cinéma. Avec de grands acteurs, des costumes et des reconstitutions des décors de l'époque d'une vraisemblance incroyable. Et puis une belle histoire de solidarité entre Juifs et Arabes... Magnifique grandiose inégalé. Jamais film n aura été aussi abouti, dans l histoire de la vengeance d un homme. Certes le film a vieilli mais qu importe tant c est le récit qui l emporte sur les effets spéciaux les plus dingues quoique ceux-ci ne soient pas aussi pauvres que cela Avec, en parallèle, le destin de Jésus rapporté dans les écritures . C est riche et ça nous requestionne sur le passage de vie de cet homme, avec son message , dans un monde où le matériel prend le pas sur l'humain Bien sur, cela reste un monument du genre péplum des années 60, avec un combat naval et la fameuse course de chars qu'il faut avoir vu une fois. Cependant c'est très long au début, idem à la fin, et dégoulinant de bon sentiment chrétien à la sauce Hollywood. Le "fils de Ur" est joué par l'athlétique Charlton Heston. Un marqueur de l'histoire du cinéma plus qu'un grand film indémodable. Bonne révision de l'environnement sociétal de la Judée au temps du Christ pour les petits-enfants! DVD vf octobre 1960 un film péplum à très grand spectacle avec pourtant un budget moyen à notre époque mais qui pour leur époque était important voir colossal. un film long très long qui pourrait être moins long si on supprimer les passages inutiles mais également les actes et entracte qui ne sert à rien il fait perdre presque une dizaine de minutes rien qu'à eux deux question acteur beaucoup d'actrices sont dans la surdose en effet certaines d'entre elles sur joue certaines scènes ce qui devient ridicule. un film trop basé sur les croyants et la religion ceux qui en est pénible surtout si vous n'êtes pas croyant. un divertissement bon mais pas exceptionnelle je ne comprend pas l'engouement autour de ce film. Interprétation De Charlton Heston excellente de haut niveaux. le film divertira un grand nombre mais rien de plus . Un des plus grands films de l'histoire du cinéma. Charlton Heston est magistral, et son duel épique avec Messala est inoubliable. Mention spéciale également pour Ester, incarnée par la belle Haya Harareet ! Ben Hur de William Wyler est il le meilleur peplum de tous les temps ? Sûrement... Tout fonctionne dans ce film, absolument tout. Eternel et intemporel. Bien meilleur que toute la ribambelle de peplums sortis dans les années 2010. Le scénario, la réalisation, le jeu des acteurs, la musique, les décors, les costumes, l'éclairage...sont de vraies réussites. A cette époque, pas d'effets spéciaux par ordinateur, donc tout semble bien plus réel et crédible que dans les films intégrants des effets spéciaux Hur mêle force et émotion, joie et tristesse, beauté et laideur, grandeur et ruine... Un film à voir absolument, au moins une fois dans sa vie ! "Ben-Hur", très grand classique du 7eme art. Film qui a remporté un grand nombre d'oscars, et qui est la preuve pure de l'évolution du cinéma. C'est un des péplums qui aura fait rêver lors de sa sortie des tas d'enfants et d'adultes fans d'aventures, et il nous séduit encore de nos jours pour toutes les scènes d'actions. Sûrement un des films les plus chers de l'histoire, entre les costumes et les décors antiques et l'inoubliable scène de la course de chars, oppressante et extrêmement bien filmée. Les certaines apparitions de Jésus dans le film, personnage dont on ne connait le visage, sont une preuve de génie. Les scènes qui se passent en mer sont aussi très divertissantes. Une super ambiance, une bonne musique de générique ainsi qu'un casting et un jeu d'acteurs dont on ne peut rien dire de négatif. Un film qui mérite entièrement son succès mondial et qui est juste parfait en tout point hormis quelques longueurs au début et personnellement, "Ben-Hur" ne dépasse pas "Les 10 commandements" au niveau scénaristique et aussi sur le fait de retracer à la perfection la vie d'un personnage biblique. Mais peut-être qu'au final, je ne fais rien d'autre que chercher la petite bête car c'est quand même un film génial et époustouflant. Je pense que même si "Ben-Hur" est un film long, on peut le comprendre et l'admirer dès l'âge de dix ans. L'ayant regardé dans mon enfance, je m'attendais à revoir un vrai péplum,c'est-à -dire historique, mais il n'en est rien puisqu'il s'agit surtout de religion tant Jésus est mêlé de cette façon. Il y a certes du grand spectacle malgré les longueurs, un bon jeu d'acteurs et une image de qualité ; je note cependant un anachronisme de taille [spoiler] Judas Ben Hur a un ami présenté comme étant "cheikh arabe", or à cette époque il n'y avait pas encore d'Arabes dans cette région. Récompensé par onze oscar, un péplum somptueux, spectaculaire et passionnant porté par un Charlton Heston grandiose. Pour moi sans aucun doute le plus beau film de l histoire du cinéma...on ne s ennuie pas une seule seconde....Charlton Heston a un charisme extraordinaire.....Le scénario est sublime....Un chef d'œuvre cette adaptation du roman culte "Ben-Hur a tale of christ" est un pur chef d'oeuvre le scénario j'ai kiffé surtout avec le fait que sa se passe au temps de jésus jésus lui meme est dans le film et la course de char entre messala et ben hur était épique je recommande ce film "Ben-Hur" ou "la vidéo du SAV de la papal's world compagny".Si ce film est beau et gigantesque 11 oscars tout de même, ma note tient essentiellement dans le discours sous-tendu derrière les images... C'est clair comme le sous-titre du roman dont ce film est tiré... Et c'est à vomir...Le pitch, Le gars qu'a fait Moïse il est pas mort quand il a découvert la terre promise à qui ? et il est allé s'y installer avec ses potes les romains sous un nom d'emprunt bien pourri Ben-Hur qui à peu de choses près veut dire je suis pas cisra mais j'aime bien la NRA. Il a un poto plutôt vénère du côté de l'ordre Melassa prononcer "non là !" qui pourrait se traduire par "Casta sans LBD"...Ben-Hur il est amoureux d'une de ses esclaves mais accepte de la laisser en épouser un autre parce que c'est pas lui qu'elle aime ce qui est plutôt metoo compatible, et ça c'est good. Friend-zoné, il lui reste plus qu'à s'occuper d'être encore une fois le sauveur de son peuple qu'il a aidé à traverser le désert dans l'épisode précédent...Du coup il se fait mal voir de son pote Méssa-ici-aussi qui pour se venger fait enfermer les parents de ben-hur et condamne ce dernier aux galères parce qu'il sait pas entretenir sa toiture ce qui est signe de décadence... En chemin il rencontre un Portugais Rhésus qui veut lui aussi faire sauveur du peuple mais il aura moins d'avenir que le Ben...Du coup aux galères, Ben-hur il se forge les bras et les pec' en faisant du bateau... et un jour qu'il se promène du côté de Rome, il sauve de la noyade un Consul qui l'adopte illico et en fait un romain comme son pote Méssa-ailleurs-tant-que-t'y-est. Du coup il retourne crâner en Judée avec son papa adoptif qu'est un pote à Ponce...Il retrouve Mézy-ça-aussi-si-t'as-la-place et le traite de clown parce qu'il fait du cirque. L'aut' il lui dit qu'il a rien compris parce qu'en fait il est pilote de char... Et donc ils font la course et ben-Hur qu'a fait l'entrainement Galère il gagne car il sait tenir les rênes... Et y rentre chez lui pour voir sa copine du début sa maman et sa soeur, qui avaient une poussé d’acné, guéries par de l'eau précieuse... celle qui qui coule des gars qu'on accroche aux clous au sommet du mont biaqtôle ou un truc comme ça .Bref il est heureux mais il s'ennuie ferme du coup il pense qu'il va construire une fusée pour aller sur une planète peuplée de singes... Le film épique du cinéma hollywoodien, multi récompense à Oscar, 11 statuettes avant que le record soit battu par Titanic avec ses 14 statuettes, dont meilleur film, réalisateur, acteur principal et secondaire compris, direction artistique, photographie, création de costume, effets visuels, montage, musique, mixage de son. Et autres récompenses reçues pour cette fresque monumentale judéo-romaine chrétienne d’une durée de 3h40, une semi-romance sur le personnage Judas de la famille juif Ben Hur de Judée, en pleine apogée expansionniste du plus grand existant dans l’antiquité. L’empire impérialiste Romain s’étendant de l’Europe jusqu’au Moyen-Orient au temps de l’an Zéro, avant et après Jésus-Christ, le messie fit des miracles que nous conte son co-religionnaire apatride Judas de Judée, accusé à tort d’avoir intenté à la vie du gouverneur de la province impérial Judéen. A cause d’une construction et des briques mal manipulées, par son ami d’enfance fidèle, retrouvailles si chaleureuses malheureusement de courte durée, Messala, l’intrigant général de cette romance philosophie politique antique juive et romain. Une production faramineuse propagandiste à l’image des 10 commandements, la Torah du judaïsme suivi de la Bible, le christianisme prend le chemin salutaire prophétique des galères pour l’esclave réduit Ben Hur, prisonnier politique ne peut que préparer sa vengeance contre l’injustice. En attendant, il galère pour trouver son bon maître romain qui lui donnera bénédiction, afin de retrouver sa liberté perdue par l’innocence acquittée pour fait d’armes en temps de navire de guerre antique, joué par l’interprète de la planète des Singes. Charlton Heston de Soleil Vert convaincant, l’acteur du théâtre Shakespearien américain, nous délivre une prestation fastueuse dans cette réalisation que nous met en scène la tragédie de l’antiquité, l’emprisonnement de toute une famille s’enchaîne dramatiquement. Au fil des connaissances médicales par la science, des maladies bactériennes affectent mères et sœurs, ce fut la lèpre, envoyées dans la vallée des lépreux et des femmes majoritairement , la miséricorde condition poussera l’émotion jusqu’à son paroxysme. Pendant cette durée du film, le spectacle garanti à l’hippodrome de Caesar III par sa musique récompensée romaine, des jeux spartiates que participera le héros juif contre son ex-ami officier militaire devenu traître ennemi opposition. Ce spectacle distrayant de l'antiquité, des arènes de combats de gladiateurs où il avait autant foule réjoui immémorial intemporel, pour se distraire de la réalité sociale romaine loi du talion, de l’esclavage, du sang et des morts. Par pure vengeance haine pour le sort réservé à sa famille miséreuse, le culte de ses scènes de course de chars à chevaux palpitants et haletants, novateurs, millimétrés, géniaux, très bien entraînés les chevaux arabesques. Au palais du Roi d’Antioche et de la Mésopotamie, la crucifixion pour en finir avec ce tableau cinéma monumental, exécuté par Rome, pas les chrétiens et leur religion du désert monothéiste, le challenge polythéiste mais l’ennemi en lui-même. Après avoir civilisé les barbares par sa politique empirique, l’empereur des népotes despotes marque l'histoire des religions qui deviendront destinées européennes antiques, la décadence et récupération des reste de chute des monuments romains 🏛italiens. Le fils du Dieu du ciel et roi des juifs Jesus et sa sainte mère Marie, fait des miracles et ses fidèles croyants lui accorderont volontiers le chef-d’œuvre, 4 étoiles critique suffira parce qu’on y croira fort aux miracles. Marcher sur l’eau, la transformer en vin, rendre à l’aveugle mendiant sa dignité, guérir des maux terrestres par le don divin, les lépreuses se convertiront, c’est sur et certain. Dans l'ensemble j'ai trouvé l'intrigue intéressante avec cette amitié trahie, ce duel à distance entre Judas et Messala qui se règle dans l'antre du Circus. Par contre, j'ai trouvé les vingts dernières minutes inintéressantes, très manichéennes et franchement pompeuses. De plus, certains éléments du film ne respectaient pas la réalité historique, je pense notamment aux costumes des légionnaires et surtout à leurs lances qui m'ont surtout fait penser à des rames tellement elles étaient grandes. Puis bon j'ai senti l'ombre d'Hollywood planait sur la production, et ce besoin d'en faire trop, surtout dans certains décors, ce qui m'a empêché d'apprécier ma période favorite à sa juste valeur. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
l'essentiel Montez à bord du fameux "Terra Vinea Express" et entrez dans les profondeurs de la terre, dans lesquelles vous pourrez remonter le temps. Situé dans une ancienne mine de gypse que les mineurs ont façonnée à partir de 1807 pendant près de 200 ans, Terra Vinea vous fait découvrir l’histoire de la vigne et du vin narbonnais de l’Antiquité à nos jours, dans un spectacle d’animation son et lumière et vidéos projetées. En compagnie de Fanny, une étudiante en sciences dans le but de vouloir devenir professeur en science vie de la terre, arpentez pas moins de 800 mètres de galeries parmi les 35 kilomètres qui la composent. Décrite comme une cathédrale du vin de par sa hauteur, la mine possède également son propre autel qui permet de bénir le vin, une fois par an, durant la messe de la Saint-Vincent le 22 janvier. Le parcours débute dans l’obscurité en suivant une longue descente, avant de pouvoir admirer le spectacle son et lumière tant promis et qui émerveille petits et grands. Retour aux débuts de la mineEn plus de pouvoir aiguiser ses connaissances historiques sur le vin audois, on peut assister à l’affinage de certaines cuvées comme le Grand opéra. Métiers, outils, machines du domaine viticole ou encore habitudes de consommation de ce nectar seront présentés par le biais de nombreuses reconstitutions, comme celle d’une antique villa romaine viticole ou d’un banquet médiéval. N’oubliez pas de prendre un gilet. En effet, en dehors du vin, c’est aussi une fabuleuse histoire sur le passif de la mine, avec l’extraction du gypse et son utilisation, dans une atmosphère recréée par une musique d’ambiance et une température équivalente à celle de l’époque. Après l’effort, le réconfortPassé une heure et demie de visite, c’est le temps de la dégustation du produit phare de l’Aude le vin. Cinq vins différents et rigoureusement sélectionnés, des plus fruités aux plus complexes, sont offerts à chacun des visiteurs, avec un descriptif complet des goûts. Parmi les nectars, on retrouve la fameuse cuvée Grand opéra, affinée au sein même des galeries. Les vins dégustés sont à disposition dans la boutique du site, en compagnie de nombreux autres produits du terroir. Les vins peuvent être également appréciés dans le restaurant de l’établissement.
Les Italiens sont tous machos et dragueurs. Les Italiens sont des voleurs. Les Italiens exercent tous la profession de mafieux. Les Italiens font rien qu’à copier sur leur espagnole ce visuel servit à certaines jaquettes de La Bataille des étoiles » d’Alfonso au moins de ces clichés est vrai. Du moins, la quatrième de ces assertions était parfaitement vraie dans le contexte du cinéma de divertissement italien des années 1970-80. L’Humanoïde » est ainsi une aberration typique de cette période où le cinéma de genre jadis le plus vivace d’Europe bascula irrémédiablement dans le nanar. Réalisé par Aldo Lado, auteur compétent de quelques thrillers appréciés des amateurs, cette pantalonnade galactique tente avec une réjouissante incompétence de surfer sur deux modes à la fois la vogue du space-opera, sur laquelle s’étaient rués comme des hyènes tous les filous du cinéma après le triomphe de La Guerre des étoiles » et, plus modestement, la mode Richard Kiel. Le gentil géant venait en effet de devenir une star en tenant le rôle de "Requin", le tueur aux dents d’acier adversaire de James Bond, dans L’Espion qui m’aimait ». Il devait d’ailleurs reprendre son rôle dans Moonraker », tourné à la même époque que L’Humanoïde ». Après avoir brillamment piqué la vedette à Roger Moore, Richard Kiel ne pouvait qu’attirer l’attention des producteurs. Malgré toute l’affection qu’inspire notre ami, autant dire que son passage au rang de protagoniste est un véritable désastre, qui renforce encore le plaisir que l’amateur de nanar prendra à ce film. L'affiche turque L’Humanoïde », contrairement à Starcrash » de Luigi Cozzi autre space-opera spaghetti de l’époque, se distingue par un décalquage appuyé de l’univers de Lucas. Là où Cozzi créait un univers somme toute original, Aldo Lado multiplie les emprunts à la limite du viol de propriété intellectuelle, reprenant des plans entiers du film de George Lucas et copiant le look de plusieurs personnages de manière éhontée. Le plagiat commence dès le générique !Quoi ? On aurait repompé Star Wars, nous ?? Vous êtes de mauvaise foi, vous... Ajoutons au passage que, malgré son absence de scrupules dans le plagiat, le film bénéficiait d’un certain budget. Au contraire, par exemple, de La Bataille des étoiles » d’Alfonso Brescia, L’Humanoïde » avait pour lui des moyens relativement conséquents, des acteurs plutôt connus, un metteur en scène capable, et trois vétérans du cinéma italien dans les coulisses Ennio Morricone à la musique, Antonio Margheriti alias Anthony M. Dawson à la supervision des effets spéciaux et Enzo G. Castellari comme réalisateur de seconde équipe. Autant d’atouts qui partent en fumée devant le ridicule du scénario, l’inconsistance des personnages et la panade artistique générale d’une production que l’on devine aussi mal contrôlée que celle de Flash Gordon ». Arthur Kennedy et Barbara Bach, les vilains pas vaut pourtant ce qu’elle vaut dans un futur lointain, la planète Terre a été rebaptisée "Métropolis" ça me dit quelque chose…. Ayant pour toujours renoncé aux conflits, ladite Métropolis vit heureuse sous le règne bienveillant d’un sage souverain, "Le Grand Frère". Or, le frère de ce dernier je ne sais pas si c’est le petit frère du Grand Frère, en tout cas c’est le frère du Grand Frère !, l’affreux Lord Graal Ivan Rassimov, a tenté de le détrôner. En exil, il rumine sa vengeance. Aidé de l’affreuse Lady Agatha Barbara Bach, comtesse-vampire de l’espace qui maintient sa jeunesse grâce au sang de femmes qu’elle immole dans une machine aspireuse de globules, et du Docteur Kraspin Arthur Kennedy, savant fou radié de son ordre, Graal a ourdi un PLAN MACHIAVELIQUE pour CONQUERIR METROPOLIS et d’ici là , LA GALAXIE ENTIERE ! MOUHAHAHAHA !!! Qu’est-ce que j’ai à hurler comme ça, moi ? Lord Graal Ivan Rassimov, acteur italien vu dans tout plein de films bis, dont Le Dernier Monde cannibale », Les Prédateurs du Futur », L’Alliance invisible », etc.. Pour les influences du costume, on va dire que c'est un hommage...La machine à pomper le sang des femmes à simplement au passage que les premières scènes du film entament d’emblée sa crédibilité en se livrant à une véritable photocopie de Star Wars » plan appuyé sur un vaisseau traversant l’espace, texte défilant avec effet de perspective et surtout, apparition sublime, un Lord Graal au costume ENTIEREMENT recopié sur celui de Dark Vador, à l’exception de vagues motifs en forme de décapsuleurs sur les côtés du casque et d’un masque qui laisse voir une partie du visage, comme dans une soirée SM ! il ne lui manque plus que la boule dans la bouche Le Docteur Kraspin a donc inventé une machine infernale qui pourra lui servir à transformer quiconque en un humanoïde invincible et invulnérable, dans le but de créer une armée que Lord Graal pourra lancer à l’attaque en la commandant à distance. Pour tester son invention, Kraspin choisit Golob, un brave pilote de vaisseau spatial qui se prépare à rentrer à Métropolis avec son chien-robot. Richard et son ici qu’entre en scène Richard Kiel, interprète de Golob affublé d’une barbe rousse, il a du texte durant sa première scène et fait preuve d’une présence à l’écran assez sympathique. Mais, une fois frappé par les radiations de la machine du Docteur Kraspin, Golob se transforme en terrifiant HUMANOÏDE !!! Heu…en fait, non, il se transforme en Richard Kiel, à qui on a simplement enlevé sa fausse barbe ! Devenu un soldat du Mal, Golob va marcher sur la ville en cassant tout sur son passage. Le film avait déjà un pied dans la fosse du ridicule, il va maintenant y sauter à pieds joints, car Richard Kiel nous refait EXACTEMENT le même numéro que pour jouer Requin dans les James Bond, en y rajoutant simplement davantage de grimaces. Et comme on le voit presque constamment à l’écran, la vérité finit par se faire jour notre ami ne sait absolument pas jouer, c’est désormais officiel ! Richard Kiel devient… L’HUMANOÏDE !En tout cas, il devient très Richard Kiel !Il n’est cependant pas le seul protagoniste du film, car nous faisons également la connaissance des héros, qui vont s’opposer aux vils plans de Lord Graal et achever de nanardiser impitoyablement le film. Passons sur Nick, aventurier de l’espace et héros viril de service, sorte de sous-sous-sous Han Solo joué par Leonard Mann de son vrai nom Leonardo Manzella, insipide jeune premier rescapé du western spaghetti. C’est bien simple, on le remarque à peine Leonard Mann fait preuve d’un tel non-charisme qu’il impressionne négativement la pellicule. Leonard Mann, le pizzaiolo du Cosmos. Corinne enfant star héroïne, une jeune et belle scientifique nommée Barbara Gibson ancienne assistante du Docteur Kraspin, elle est à l’origine de la disgrâce de ce dernier pour pratiques douteuses. Dans le rôle de Barbara on retrouve Corinne Clery vive la France !, révélée par Histoire d’O » et reléguée ensuite en Italie Yor le Chasseur du Futur » et autres merveilles, faisant preuve d’une compétence de comédienne inversement proportionnelle à la rondeur de son fessier. Absolument pas dirigée, elle semble en permanence sous tranquillisants. Tom-Tom, la tête-à -claques de l’ s’occupe d’un mystérieux orphelin asiatique, étrangement savant, et affublé du surnom hilarant de "Tom-Tom". J’avais gardé ce dernier pour la bonne bouche car il constitue l’un des principaux moteurs nanars du film. Joué par le petit Marco Yeh, hideux petit gnome italo-asiatique dont ce fut heureusement le seul rôle à l’écran, Tom-Tom est l’une des plus horripilantes têtes à claques qu’il m’ait jamais été donné de détester au cinéma. On me chuchote que le gamin de Gameka et les Trois Super Women » serait encore pire dans ce registre ; je demande à voir. Evidemment, ne comptez pas sur moi pour vous révéler que cette petite ordure est en fait une sorte de Little Buddha de l’espace et que ses pouvoirs surnaturels contribueront à vaincre le mal, en rendant notamment à Golob la conscience de son humanité, ce qui amènera le géant à se retourner contre les méchants. Ce serait vraiment salaud, d’autant qu’on le devine au bout d’une dizaine de minutes. Richard empoigne grâce aux pouvoirs de Tom-Tom, il est devenu quelques baisses de rythme au début, L’Humanoïde » est un nanar d’une excellente cuvée qui mérite, autant que Starcrash », d’être redécouvert. Moins candide et sympathique que le film de Luigi Cozzi, le film de Lado le bat sur le terrain du grotesque. Pour l’avoir vu dans une salle pleine et entendu les rires gras qui ponctuaient chaque apparition de Lord Graal et chaque mimique simiesque de Richard Kiel, j’ai pu tester en direct la puissance comique de la Bach attend son chèque de fin de petit robot blanc rigolo, mais où vont-ils chercher tout ça ? En tout cas, c’est quasiment le meilleur acteur du film… Le film se distingue par un scénario très simpliste, visiblement destiné à un jeune public assez peu mature, mais confond naïveté et niaiserie. Je passe sur le chien-robot de Golob, mélange insane de Milou et de R2D2. Les méchants croulent sous le ridicule outre Lord Graal, le Vador de chez Prisu, on notera le peu de crédibilité des deux autres grands méchants. Dans le rôle de Lady Agatha, Barbara Bach fait le minimum syndical. Par contre, l'interprète du Docteur Kraspin, Arthur Kennedy honorable acteur hollywoodien qui donna la réplique aux plus grandes vedettes avant d’échouer en Italie cabotine comme s’il postulait pour une apparition dans un Blake Edwards. Tu sais, j'ai participé à Barrabas » et Lawrence d'Arabie » et puis après, niveau carrière, le trou noir...Les représentants des forces du mal semblent s’appliquer à illustrer le cliché du méchant qui agit le plus stupidement possible de manière à favoriser sa propre défaite. Vous avez à l’esprit l’image du méchant qui explique son plan au héros au lieu de le tuer ? Hé bien ici, c’est tout le temps comme ça, mais en pire. Les troupes d’élite de Lord Graal donnent l’exemple en constituant la plus belle bande de losers jamais vus à l’écran. Rarement vit-on des figurants aussi désordonnés et aussi pressés d’aller se faire étendre par le héros ! Avec une telle troupe de minables, Lord Graal n'est pas près de devenir maître de la galaxie il ne pourrait même pas conquérir Ploumizolin-sur-Orge ! Lord Graal fait appel au côté obscur de la la belle équipe de professionnels du cinéma présents au générique, tout le monde semble avoir baissé les bras devant l'ineptie de la chose. Enzo G. Castellari, responsable des scènes d’action on reconnaît quelques ralentis, sa marque de fabrique, semble être allé roupiller dans un coin du studio en attendant que ça se passe. Antonio Margheriti n’a sans doute été présent que par intermittence pour superviser les effets spéciaux certains sont relativement réussis, d’autres transparences barbouillées au crayon, incrustations de vaisseaux spatiaux à hurler de rire auraient déjà semblé un peu vieillots en 1950. Tom-Tom joue aux jeux vidéos du la plus grosse déconfiture artistique reste encore la musique d’Ennio Morricone, qui livre ici ce qui doit être la plus belle ratatouille de sa carrière. Amorphe, discordante, la de L’Humanoïde » conviendrait mieux à une émission de plateau ou de télé-achat qu’à un space-opera. Le maestro a dû encaisser son chèque et faire composer le bouzin par un stagiaire. Ou bien il avait oublié le boulot à faire, s’en est souvenu la veille du tournage et a mélangé au hasard des bouts de partitions inachevées. Deux explications qui sauveraient au moins l’honneur…L’éminent nanardeur Dryke, qui assistait à la projection, me demande de ne pas oublier la scène HOT du film ! Imaginez la hutte de Corinne Clery cernée par les soldats de Lord Graal. Ils entrent, elle fuit, courant dans la demeure qui vue de l'extérieur ne paraissait pas si grande, elle court et PLAF ! en traversant une pièce vide de tout mobilier elle tombe dans une baignoire creusée là au milieu de la pièce... Elle en ressort trempée, les vêtements lui collant à la peau, dévoilant chacun de ses reliefs avantageux. Une moite sensualité s'installe fugitivement... Toujours poursuivie par les hommes de main de Lord "Bondage" Graal ah, ce masque... elle se remet à courir. Sa robe trempée épouse harmonieusement ses contours, dans un délicat effet de transparence. C’était donc ça, cette histoire d’eau ! Magnifique marque de sensualité, en effet ! Et pas du tout déplacée dans le récit... Aldo Lado, déprimé par le tournage de son nanar S-F pour jeune public, a-t-il voulu se lâcher ? En tout cas, gloire à Corinne Clery et à son fessier inter-galactique, et vive la S-F érotomane !A noter une curiosité du casting deux des actrices principales partagent par ailleurs l'affiche avec Richard Kiel dans ses deux James Bond. Barbara Bach était l'héroïne de L'Espion qui m'aimait » et Corinne Cléry tenait un petit rôle dans Moonraker ».Perle inestimable du nanar kitsch italien, L’Humanoïde » est une véritable friandise. Destiné à un jeune public malgré les gros plans qu’Aldo Lado n’a pu s’empêcher de faire sur les formes de Corinne Cléry, sa naïveté un peu sucrée ne fait pas oublier une profonde bêtise qui en fait un spectacle à ne pas rater ! Et vive Tom-Tom ! Avec la barbe, il fait tout de suite plus une interview accordée au magazine Mad Movies Mad Movies N°183 de Février 2006, p. 93, le réalisateur Aldo Lado évoque de façon substantielle "L'Humanoïde"."Pour votre film de SF, L'Humanoïde, la post-production s'étendait aux effets spéciaux, qu'a réalisés Antonio Margheriti...Antonio s'était chargé des voyages interplanétaires c'était un grand seigneur, un homme exquis, un véritable orfèvre. Les maquettes et les incrustations ont été réalisées par un Espagnol formidable, Emilio Ruiz, qui a ensuite fait carrière à Hollywood [Note de Nanarland un artisan au sens noble du terme, qui a oeuvré sur un paquet de films, du péplum Persée l'invincible avec Richard Harrison au Labyrinthe de Pan de Guillermo del Toro en passant par Supersonicman, Dune, Conan le barbare et La Guerre du fer !]. Pour superviser les SFX, j'avais néanmoins demandé - en vain - un Yougoslave qui avait été le bras droit de Douglas Trumbull sur 2001 l'odyssée de l'espace. Pour le dénicher, je comptais sur l'actrice Barbara Bach, que j'avais déjà fait jouer dans La Corta Notte... pour son côté "Europe centrale". Ici, elle me permettait en outre de contourner le quota imposé de comédiens italiens, car elle possédait cette nationalité pour avoir été mariée à un de mes compatriotes, comme Corinne Clery d' film trahit pourtant son origine, avec par exemple la cité qui renvoie à l'Antiquité romaine...Pour des raisons de budget, je ne pouvais pas vraiment concurrencer les films américains, si bien que j'ai essayé de donner un côté personnel latin, à cette oeuvre de pure commande. Mais le résultat aurait été bien meilleur si j'avais eu les collaborateurs que j'avais demandés. Je voulais notamment un décorateur de théâtre fantastique, qui créait des atmosphères incroyables en collant des feuilles de plastique qu'il éclairait par derrière. Mais le producteur avait déjà signé un contrat ; or on ne me fera pas croire que quelqu'un qui a fabriqué des villages western toute sa vie peut passer comme ça à la SF, même si c'est un grand professionnel. C'était donc la bagarre du matin au soir, et en plus le résultat n'était jamais celui que je désirais. C'est dommage car j'avais tourné certaines séquences à Jérusalem et dans le désert du Néguev, en utilisant les bâtiments d'un architecte israélien dont j'avais découvert les projets, quelques années auparavant, à la biennale de Venise. Je l'ai d'ailleurs rencontré cette année, lors d'un salon d'art contemporain à la Porte de Versailles. Je me suis approché d'un stand où j'avais reconnu ses travaux, et il était là nous nous sommes présentés et je lui ai dit "Vous savez, j'ai fait un film il y a 25 ans..." riresLa réalisation des scènes d'action est créditée Enzo G. Castellari...Il a tourné le combat final. J'en avais ras le bol et j'avais demandé au producteur d'engager quelqu'un, car je ne me sens pas très à l'aise avec l'action. Nous nous sommes mis d'accord sur Castellari, qui est un ami."
film a grand spectacle en costume de l antiquité